2013年1月31日发表于USINE NOUVELLE文章精选
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L’industrie numérique chinoise offre encore des opportunités pour les Français. Doux rêveurs s’abstenir !
Douze millions… C’est le nombre de membres actifs que revendique aujourd’hui Viadeo en Chine. En 2007, le français ouvrait la voie à ses compatriotes en fusionnant avec Tianji.com, le premier réseau professionnel chinois (qu’il a racheté en 2009). Une transaction intelligente. « Au lieu d’apporter du cash, avec le risque que le fondateur de Tianji l’utilise pour créer une société concurrente (comme ce fut le cas dans l’agroalimentaire, entre Danone et Wahaha), les parts du chinois ont été cédées contre des parts de Viadeo. Les deux parties sont obligées de travailler ensemble et de se faire confiance pour prospérer », analyse Bruno Bensaid, installé à Shanghai. Ce Français fait partie d’AngelVest, une association de 65 business angels qui sélectionne avec soin les start-up de différentes nationalités. « Actuellement, nous soutenons 16 sociétés. Peu importe que ces entrepreneurs soient français, américains ou chinois. Le critère déterminant est qu’ils soient établis à 100% en Chine. » Pourtant, Bruno Bensaid peine à définir les secteurs du numérique dans lesquels il serait bon d’investir.